Le parking souterrain empeste l’essence et l’humidité. Les néons crachent une lumière blafarde, clignotant sur le béton tagué. Cocksucker, la trentaine, est collé à un pilier au niveau -2, le cœur battant à tout rompre, l’adrénaline lui brûlant les veines. Un message reçu y’a pas longtemps : *“23h, coin nord. Sois prêt.”* Il est prêt à fond. Des pas claquent dans l’escalier. Deux mecs déboulent, ombres lourdes sous les néons. Cocksucker les jauge, son sang cogne. Il s’agenouille, le béton glacé lui mord les genoux. Le premier ouvre son froc, sort une queue massive, épaisse, pulsante. Le deuxième suit, son engin tout aussi énorme, prêt à craquer. Cocksucker plonge, mains et bouche à bloc, gérant ces deux monstres avec une précision de ouf. Les grognements rauques du premier se mêlent aux murmures crus du deuxième. L’air est lourd, saturé de sueur et de sexe rude. Les néons grésillent, le parking pulse. Cocksucker est à fond, la sueur dégouline, le goût salé lui envahit la bouche. Le premier lui chope l’épaule, impose un rythme féroce. Le deuxième grogne, au bord de l’explosion. Puis, bam : le premier lâche une éjac brûlante, épaisse, des jets puissants qui giclent sur les lèvres, le menton et les joues de Cocksucker, dégoulinant en traînées collantes. Le deuxième enchaîne, sa décharge tout aussi massive, éclaboussant son front et ses paupières en cordes visqueuses qui coulent lentement. Ils finissent par cracher, chacun un mollard chaud qui s’écrase sur son visage , mélangeant salive et foutre dans un chaos humide. Cocksucker se relève, essuie son visage trempé d’un revers de main, un sourire tordu aux lèvres. Il s’enfonce dans l’ombre, encore chargé à bloc.

Un parking souterrain, un box baigné par une ampoule vacillante. L’air empeste l’huile et la sueur. l’actif, un militaire renoi taillé comme un colosse, est perché sur un escabeau métallique rouillé, jambes écartées. Son treillis entrouvert dévoile son monstre : une queue démesurée, épaisse comme une canette, veinée, d’un noir luisant, 25 cm de puissance rude. Le gland, large et lisse, brille, ses couilles massives pendent lourdement, prêtes à exploser. L’"Artillerie", comme l’appellent les initiés. Cocksucker franchit la porte rouillée, ses lèvres humides frétillent.Il s’agenouille sur le béton huileux, face à l’escabeau. Ses mains saisissent le membre, trop gros pour une seule prise. Il lèche les veines saillantes, titille le gland, savoure une goutte salée. Puis il attaque, lèvres écartelées, engloutissant le bout. Sa gorge proteste, mais il virilité, avalant plus loin. L’actif kiffe grave. Chaque succion lui arrache un grognement rauque, ses abdos se contractent sous le plaisir. "Putain, t’es trop bon," gronde-t-il, sa voix tremblante d’extase. La bouche de Cocksucker est un fourreau brûlant, sa langue dansant sur les veines, alternant gorge profonde et tourbillons autour du gland. Cocksucker bave, ses yeux larmoyants mais défiants, la salive dégoulinant sur le sol crade. Il accélère, ses mains malaxant les couilles lourdes, sentant leur chaleur pulser. L’actif, en transe, agrippe la nuque de Cocksucker, baisant sa bouche à petits coups. L’escabeau grince, le box résonne de bruits humides. La tension grimpe. L’actif halète, ses muscles bandés. "J’vais jouir," grogne-t-il. Cocksucker redouble d’effort, sa gorge avalant jusqu’à la garde. L’Artillerie explose : un jet épais, brûlant, gicle au fond de sa bouche, puis un autre, débordant sur ses lèvres. Cocksucker avale ce qu’il peut, le sperme coulant sur son menton, éclaboussant le béton. L’actif, essoufflé, savoure la vue, son plaisir décuplé par la performance du pro

Dans une chambre d’hôtel baignée d’une lumière tamisée, l’ambiance est électrique. L’actif,qui se fais appeler "The naked artist" sûr de lui, est assis sur une chaise, jambes écartées, son regard brûlant fixé sur la porte. Il attend, impatient, son torse musclé se soulevant légèrement à chaque respiration. Cocksucker entre, un sourire complice aux lèvres, ses yeux pétillant d’envie. Sans un mot, il s’approche, s’agenouille avec une assurance féline, prêt à montrer pourquoi on le surnomme le roi de la fellation. Ses lèvres effleurent d’abord, taquines, avant de s’abandonner à un rythme envoûtant, profond, maîtrisé. Sa bouche chaude enveloppe avec une expertise xxxtique, alternant des mouvements lents, presque sensuels, avec des accélérations profondes et audacieuses. Sa langue danse avec précision, explorant chaque détail, tandis que ses mains caressent doucement, intensifiant chaque sensation. L’actif grogne de plaisir, sa main glissant dans les cheveux de son partenaire, guidant sans forcer. La tension monte, rapide, intense. Son excitation est évidente, son corps réagit, dur, prêt, ses couilles lourdes frémissant sous cet art consommé. Puis, ils se relèvent, leurs regards se croisent, chargés de désir. Leurs lèvres se trouvent dans un baiser langoureux, sensuel, où la passion explose. Les langues dansent, les souffles se mêlent, et la chaleur entre eux devient insoutenable. Cocksucker retourne à son œuvre, sa fellation reprenant avec une intensité renouvelée, chaque mouvement plus précis, plus enivrant. L’actif, au bord de l’extase, laisse échapper un râle rauque, et une éjaculation puissante éclabousse le visage de cocksucker, qui l’accueille avec un sourire victorieux, ses yeux brillant d’une satisfaction complice. C’est rude, c’est tendre, c’est un moment où le temps s’arrête, ne laissant que le plaisir et l’alchimie entre ces deux corps qui se comprennent sans parler.

En plein jour, l’appart baigne dans une lumière crue, mais l’ambiance est électrique. Lui, masqué, le cœur battant, s’agenouille devant son secret bien gardé : un glory hole découpé dans le mur, prêt à livrer son lot de vice. De l’autre côté, une queue massive et raide fait irruption, défiant sa faim. Il ne perd pas une seconde. Sa bouche s’ouvre grand, engloutissant chaque centimètre en une gorge profonde vorace. La salive dégouline, ses lèvres serrées glissent avec une intensité rude. Il savoure la chaleur, la pulsation, le pouvoir de ce moment où il se donne à fond. Ses mains s’accrochent, son souffle s’accélère, et des grognements rauques résonnent dans la pièce. Pas de place pour la retenue : c’est un délire grave cho, un abandon total au plaisir qui le consume.

BI MACHO, le rebeu des cités, un vrai bandit au regard charmeur, retrouve son cocksucker adoré pour une session hardcore, la totale cette fois ! Ce mec, un mâle alpha avec une teub épaisse et lourde ; il a grave kiffé la bouche de cocksucker, cette gorge profonde qui avale tout comme une championne. La dernière fois, il lui a défoncé le gosier jusqu’à le faire baver comme une chienne, mais là, il passe au niveau supérieur : il va lui éclater la chatte, et pas qu’un peu ! Cocksucker, c’est pas n’importe qui, une légende dans le game : une chatte de ouf, bien poilue avec des touffes sauvages, trempée comme une fontaine, chaude comme une fournaise, rose vif à l’intérieur, un trou serré mais gourmand qui pulse de désir. Quand BI MACHO va le choper, il va le retourner comme une salope, lui claquer les fesses jusqu’à ce qu’elles rougissent, et le baiser tellement fort que les murs vont trembler. Ambiance racaille pure, ça sent la sueur, le vice et le béton des tours. Ça va être grave cho, un festival de baise sans limite !

COCKSUCKER et DEEPandROUGH passent au hardcore après une pipe légendaire. Dans un box désaffecté, COCKSUCKER, icône vivante, exhibe sa chatte poilue hallucinante – une jungle noire trempée, fion rose qui pulse, un terrain de jeu si bandant qu’on s’y noie direct – et avale la teub monstrueuse de DEEPandROUGH, une queue raide, épaisse, veinée de ouf, un marteau-pilon prêt à tout exploser. Gorge éclatée, bave en cascade, l’ambiance sent le sexe pur. Sur une chaise bancale, COCKSUCKER écarte sa chatte divine, juteuse à souhait ; DEEPandROUGH y balance un gros mollard gluant, puis enfonce sa bite colossale bareback d’un coup sec10, la pénétration hot plongeant dans ce paradis poilu, si parfaite qu’on s’y sent chez soi, les couilles pleines claquant contre cette touffe mouillée. Et puis, sur un matelas , défoncé par le temps, couvert de taches douteuses, COCKSUCKER se cambre, cul en l’air, chatte grande ouverte – un trou rose luisant, bordé de poils noirs gorgés de mouille, qui palpite de désir. DEEPandROUGH, bite dressée comme un roc, agrippe ses hanches, ses doigts s’enfonçant dans la peau moite, et la pénètre d’un coup , sa queue énorme s’enfonçant jusqu’à la garde dans ce nid chaud et trempé. Les parois de cette chatte l’enserrent, sucent sa teub comme une ventouse vivante. Il la baise sans relâche, chaque coup de reins est un uppercut, profond, sauvage – le bruit mouillé de sa touffe poilue qui gicle à chaque impact, les couilles lourdes qui claquent contre son cul, laissant des traces rouges sur sa peau frémissante. Le matelas gémit sous les assauts, les ressorts pétés grincent à chaque poussée, tandis que COCKSUCKER encaisse, le cul secoué, la chatte dégoulinante de jus qui coule en filets épais sur ses cuisses. DEEPandROUGH accélère, sa bite gonflée à bloc racle chaque recoin de ce trou béant, le gland cognant le fond comme un bélier, les veines saillantes frottant les parois trempées. Il la pilonne, alternant les angles, écartant encore plus cette chatte poilue avec des doigts experts, exposant son intérieur rose et luisant. La sueur perle, les corps claquent, le matelas s’affaisse sous leur poids, et COCKSUCKER hurle, le cul offert, la chatte palpitante qui en redemande, les lèvres gonflées et rouges d’excitation. DEEPandROUGH la démonte jusqu’à la limite, sa queue titanique grognant à chaque coup, puis se retire d’un coup sec, la bite luisante, dégoulinante de mouille, et se branle au-dessus d’elle. COCKSUCKER, à genoux, langue pendante, attend la récompense. Le premier jet de sperme jaillit, épais, brûlant, et lui éclabousse le visage – une giclée blanche qui lui barre le front, dégouline lentement sur ses joues. DEEPandROUGH grogne, sa queue pulse, un deuxième jet lui peint les lèvres, coulant dans sa bouche, salé et gluant, pendant qu’un troisième lui arrose les paupières, collant ses cils dans une mare de foutre. Le sperme dégouline en cascades chaudes sur son menton, son cou, tandis que COCKSUCKER, sublime, trempé, lèche ce qu’il peut, le visage inondé sous ce déluge crémeux.

Dans une cage d’escalier sombre et étroite, l’ambiance est déjà électrique. Lui, l’actif, un mec bien viril, déborde d’une énergie. Il descend les marches d’un pas décidé, les couilles pleines, prêt à démarrer sa journée en se faisant vider comme il faut. "Bouge-toi, j’ai pas toute la matinée", lâche-t-il d’une voix rauque et autoritaire, les yeux brûlants de désir. Il aime dominer, ça se sent dans chaque mot qu’il balance, chaque regard qu’il pose. En bas, cocksucker l’attend, docile mais affamé. Une vraie bonne suceuse, un expert qui sait y faire. À genoux direct, il lève les yeux vers son maître du moment, prêt à obéir. Ses lèvres humides s’approchent, et il se met au boulot avec une dévotion qui frôle l’art. Il encaisse les ordres, les "vas-y, plus profond" et les grognements de l’actif qui le guide d’une main ferme sur la nuque. Ça claque, ça suinte, ça vibre dans cet espace confiné où chaque son résonne. L’actif impose son rythme, bien verbal, lâchant des "t’aimes ça, hein ?" entre deux souffles lourds. Cocksucker, lui, s’applique, bave, savoure, une machine à plaisir qui fait monter la tension jusqu’à l’explosion finale. Une journée qui commence fort, dans la sueur et la domination..

Un bogoss en rut, pur lascar de cité, une queue énorme, dure comme du béton armé, prête à tout péter dans la zone. Vicieux à donf, il chope cocksucker par le col, ce suceur affamé qui kiff grave les teub de caid. Le bogoss lui balance un crachat en pleine bouche, un sourire de voyou aux lèvres et lui démonte la gueule , enfonçant sa teub jusqu'au fond façon mec de Tess. Il tient la tête de cocksucker, qui bave et lèche cette queue qu'il idolâtre, les yeux brillants de vice, et finit par l'innonder sous un jet de foutre brulant, bien épais, qui lui dégouline sur la tronche comme une marque de son territoire. Cocksucker encaisse, en redemande même, prêt à tout pour ce délire de ouf ou il craque face au boss, wesh?

Cet hétéro curieux a tellement kiffer qu'il est de retour ! "Bi Macho", c'est comme ça qu'il se fait appeler. Poser sur son lit en mode pacha, cocksucker le rejoins grave cho à l'idée de pouvoir le vénérer une seconde fois. BI MACHO l'accueil bien decider à se faire plaisir et à le dominer, autant verbalement que physiquement. Le bogoss se lâche grave et cocksucker adore ça! Entre ces pieds, ces couilles et ça bite, il lèche bi macho sans modération! T'as kiffé le duo? la prochaine fois, BI MACHO va bien s'occuper de baiser le p'tit cul poilu de COCKSUCKER, ça va être bien cho..

Un dimanche après-midi, cocksucker traîne dans une tour d'immeuble qu'il à l'habitude de fréquenter, réputée pour y trouver des mecs du quartier les couilles pleines avec qu'une envie, se les vider! Il fais un tour dans la cage d'escalier, patiente un peu puis entend un bruit au dernier étage : surement un signal d'un mec bien cho. Il se met donc en marche, monte les escaliers, pousse la porte déjà entrouverte et tombe sur un renoi cagouler la main dans le calbut ! C'est le jackpot pour COCKSUCKER! Il comprend de suite qu'il doit se mettre à genoux et commencer le taff ! Il découvre un zob XXL bien lourd ; s'en suit une pipe dont le gars va se souvenir longtemps car au quartier, c'est COCKSUCKER le préféré!

« Yoo frérot, on dit que les mecs sont les pro de la fellation, tu m’le prouve? » Un challenge que cocksucker accepte de relever, les genoux à terre et la langue tirée. Rendez-vous derrière un bâtiment d’une zone industrielle. Un après-midi de décembre, il fais plutôt froid mais le mec est bien motivé à se laisser téter le zob ! cocksucker se met à genoux et palpe la marchandise, puis commence à pomper le jeune bogoss de cité bien déterminer à le faire jouir de plaisir.

Fin de mission pour le militaire - Il contact cocksucker sur une appli de drague gay. "Salut salope, je rentre de mission et j'ai grave besoin d'un vide couilles now" - Il en fallait pas plus pour exciter le suceur numéro 1 de Paris ! Arriver à l'appart de MilitaryXXX, il découvre un vrai male tout transpirant, encore vêtu de son uniforme ! Il le dirige tout de suite, le mec est un vrai macho ! Appuyer contre le mur, il déboutonne son pantalon et sort son gros engin, cocksucker est grave cho et ça se voit : il le régale avec sa meilleur pipe baveuse !